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Le fil de l'eau

9 janvier 2022

Fabulette du poil de couilles

A la suite de réunions sans fin autour d'une table, ou il n'y avait que moi, j'ai pris la grande décision irrévocable et sans appel, d'aller emmerder mes poils de couilles. Si ça c'est pas la grande décision de l'année!! Pas un ne doit passer à travers.

Donc, hier, à l'aide d'une arme redoutable qui mettra tout le monde au plis, j'oeuvre. J'oeuvre quand même délicatement, pour qu'ils ne rendent pas trop compte que tout le monde va y passer. Je fais une première passe un peu éloigné, l'air de rien. Personne ne bronche.

Puis une seconde un peu plus rapprochée. Pas de rebellions en vu. J'avais pensé que ça allait être un peu plus compliqué. Le petit peuple des couilles ayant été laissé dans une liberté total depuis quelque temps.

J'aurais pu me satisfaire de ce second passage. Mais j'aime bien la perfection. Et puis c'est moi le décideur ultime de ce peuple-là. Alors, j'équipe la tondeuse de la grille la plus fine et j'approche l'objet mortelle de la zone déjà désertique. Il y eu quelque faible sursaut de poils un peu planqués, un peu plus costaud, mais m'en voilà venu à bout.

Tout le monde est alors logé à la même enseigne. J'ai repris le pouvoir sur mes couilles. Les voilà rutilantes et désertique. Je n'en suis pas peu fier. Je me suis couché avec un air satisfait, le sourire aux lèvres du haut (remarque. J'ai que celle-là, moi) et les mains......

Ce matin, me rappelant de la lutte d'hier, je gonflais le torse en me dirigeant vers les toilettes. Les pensées remplies de fierté, je baisse le regard et (oui. Je vois encore ces parties là quand je baisse le regarde, malgré mon age avancé) ...

QUUUUOOOIIIIIII !!!!!!! NON NON NON et NON !!

Fièrement dressé, d'une longueur substantielle que ne vois-je pas ??? AAAAAARRRRRGGGGHHHHH. IIIILLLLL ENN RESSTTTEEEE UNNN...

Moralité : Malgré vents et marées, tant qu'il restera un poil debout, l'espoir continuera d'exister.

 

 

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16 juin 2021

Aller les vers

Si t'as manqué le début, c'est par là ->

Qui c'est les meilleurs évidemment c'est nos vers.

Ils ont un bon public et les meilleurs supporters.
Ils vont gagner!
Ça c'est juré, allez.

Allez, qui c'est les plus forts ?
Evidemment c'est nos vers
Ils jouent pas au football et Ils ont quelques frontières
Main dans la main... euh.... ben... c'est pas possible là. 

 

Si t'es vieux comme moi. Si le foot ne t'intéresse pas trop, tu pourrais quand même connaitre cette chanson. 

Bon, je l'ai un peu modifié pour introduire le sujet du jour. Au passage, j'ai bien écrit vers et non pas verts. C'est fait esquepret.

Voilà. On y est.
On a adopté des animaux domestiques. Un troupeau en fait. Et pour rire, on les a appelés les vers à pied. On nait alcoolique, on reste alcoolique.

Tiens. J'te fais montrer des photos.

D'abord, eux :

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Après, leur maison toute neuve :

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Ensuite leur premier manger :

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 Oui. Ça y'est. On a un lombricomposteur sur notre balcon. 

Mais ça ne s'arrêtera donc jamais ??

6 juin 2021

En ver et contre tous

Salut toi!
T'es encore là!
Ben tu t'accroches dis donc.

Aller. Puisque tu es là, je te raconte une histoire. Comme au bon vieux temps.

Tu te rappelles de Chromella? Non? Remarque, ça fait un paquet de temps. Ça date de 2015. T'as bien vieilli depuis. T'as dû perdre un peu de mémoire. Tiens. Si t'as deux heures, tu peux cliquer là pour le souvenir.

Cette petite Chromella existe toujours. Elle a fait plus ou moins son œuvre pendant les périodes chaudes. Le reste du temps, les épluchures finissaient dans le compost de l'Amap. Mais bon, en attendant, on a pas lâché l'affaire.

On voulait remettre ça cette année.
Mais quand même! On était pas super satisfait du résultat à chaque fois. Alors, Madame Fredo et moi avons déclenché une assemblée générale extraordinaire, avec à l'ordre du jour le devenir de notre Chromella. Le couperet est tombé. On lui a laissé sa chance à celle-là. Six ans quand même. On a tout fait pour elle et, finalement, bien pas grand chose quoi. Alors, à la poubelle la poubelle (On va pas la j'ter hein. On va sans doute la donner. C'est là que l'on brique pour avant qu'elle parte) .

A ce moment précis de ce merveilleux récit, je te sens, soit dépité.e, soit heureux.se qu'on abandonne cette idée de m..... En tout cas, ça ne te laisse pas indifférent.e, en fonction de, si t'es gentil.le ou si t'es une ordure (c'est pour resté dans le thème).

Et c'est là que tu relies le titre et que tu commences à comprendre le drame qui est en train de se jouer au nid (le nid, c'est le nom de notre appartement je te rappelle. Si t'as deux jours à perdre, c'est par là). 

Le suspens est à son comble. 
Je file. J'ai un truc à faire.

Mouarf.

Si tu veux la suite, c'est par là ->

 

7 avril 2021

Plus d'inspiration, ou presque

Je vois qu'il y a plus d'un an que je n'ai rien publié ici. Pfff.

J'adorais tellement écrire tout et n'importe quoi ici. Mais je n'en trouve plus l'énergie, ni les sujets.

C'est vrai que, comme pour toi, ma vie a terriblement changé depuis un an. On se demande bien pourquoi.

Tu sais toi? Pourquoi?

Bien sur que tout le monde sait pourquoi sa vie a changé depuis un an. Qui ne le saurait pas?

Oh et puis non.

Finalement je n'ai vraiment rien d'intéressant à dire. Je suis en train de partir sur le virus. Quand on part sur ce sujet c'est qu'on a déjà épuisé le sujet du temps qu'il va faire aujourd'hui. Autant dire qu'on a rien à dire. 

Alors, je vais attendre que l'inspiration revienne un jour et je reviendrais, peut être, égailler tes mornes jours un de ces prochains temps...

Peut être...

8 mai 2020

Liberté, délitée, je ne la reverrai plus jamais

En ce bel après midi du lundi seize mars deux mille vingt, je suis à bord de ma Rolls rouge.

Derrière mon siège, j'ai calé tant bien que mal, mon pc portable, un écran, des documents divers et variés et mon linge de rechange que j'avais prévu pour la semaine.

Cette journée pourrait être une journée comme les autres. Sauf que je sais que ce n'est pas le cas. Je prends mon temps. Je respire les odeurs. Je profite du soleil. Je regrette de ne pas avoir allongé mon parcours comme je le fais parfois. 

Je sais.

Je sais que ce ne sera plus pareil. Jamais.

Je sais que demain, je ne verrai pas mes collègues de travail.
Je sais que je dois installer un bureau chez moi.
Je ne savais pas que je télétravaillerais un jour.
Je ne sais pas si j'y arriverais.

Je sais que ce ne sera plus jamais pareil.

Aujourd'hui, jour d'armistice. Des gens se sont battu pour leur liberté. Beaucoup y ont laissé leur vie. 

Liberté. Belle liberté. Combien de personnes se sont-elles battu pour l'obtenir, la garder, la chérire?

Aujourd'hui, jour d'armistice, nos libertés se délitent petit à petit.

Les derniers à la réclamer sont, peut être, la vague des hommes et femmes en jaune qui ont pris l'Élysée d'assault. Je n'étais pas le dernier à ne pas être d'accord avec certain fait. Partagé. Comme toujours. Comme je le suis lors de mouvement de masse. Mais ils ont été jusqu'au bout de ce qu'ils pouvaient faire. Avec coeur.

En tout cas, ceux là ont tenté. 

Depuis, on leur a demandé, à eux et aux autres de se confiner.
Rentre chez toi, mon ami. Il n'y a plus rien à voir. Il parait que tu vas mourir si tu croises tes semblables dans la rue. Et si tu veux te balader le nez en l'air: AUSWAS.

Hier (le sept mai donc) on t'a dit que tu allais pouvoir ressortir. Ressortir bailloné mon ami. Tu veux l'ouvrir. Et ben non. Ferme là. T'en as assez fait. Et pis si tout le monde est d'accord, on va te tracer. Une puce dans la poche va dire si t'es malade et ou tu es.

C'est pour ta sécurité. On ne peut pas faire autre.... aaarrggghh (pardon. J'ai vomi).

Et puis si t'as besoin d'un doc, réfléchis y à deux voir trois fois. Ces hommes (pas ceux qui refusent), seront payés pour te dénoncer. "Éh chef, chef, chef. Il est malade lui. J'en fais quoi.. aaaarghhhh (j'ai revomi).

Voilà. C'est dit.

Le masque qui se voit n'est pas le plus dangereux

 

J'ai l'impression que, ces deux dates à soixante quinze de différence, ont des vieux relants de je ne sais pas quoi.

Prends soin de ta liberté. Elle est précieuse.

 

 

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25 avril 2020

Le con qu'ombre masqué

Recule toi un peu de ton écran, je vais crier: J'EN AI MARRRRRREEEEEEEE.

Je suis fatigué de ces histoires de masques: Il faut du tissu, pas du tissu, des spéciaux, des pas spéciaux, des jetables, des pas jetables, c'est efficace, c'est inefficace, c'est obligatoire, c'est pas obligatoire.

SSSSSTTTOOOOPPPPPEEEEUUUUUU

masque

Ça y'est. Tu peux revenir. Je vais tenter de ne plus crier.

Ma position (à part d'être assise dans mon canapé à écrire des conneries), c'est que je n'en porterais pas, aussi longtemps que je le pourrais et que je ne me ferais pas lapider, nu (quoi que c'est tentant) en place public, parce que je suis un des rares à ne pas en porter.

Symboliquement, on tente de bâillonner la population en plus de la terrer dans la peur. Ça te parle ça ou pas ?

Je ne dis pas qu'il ne faille rien faire. Bien sur. Je dis juste que, si on est raisonnable et qu'on respecte les fameuses distances sociales (ces mots sont effrayants) et surtout qu'on respecte, l'autre tout simplement, il y a peut de risque de se filer le truc de père en fils (il parait que ça marche aussi de mère en fille, de père en mère, de fille en fils, etc.). 

Le masque est devenu le must have (t'as vu comme je parle?). Le truc incontournable qu'il faut acheter à tout prix (mots choisis)On parle, en ce moment, de masque éphémère à 5€. C'est un truc de fou. A la limite, tu prends un billet de 5€, t'ajoutes deux élastoques et tu te le colle sur la mouille.... trois, quatre heures et tu le jettes.

Et pis tu sais? Chu un peu écolo à tendance zéro déchet. Tu me vois venir? Je ne sais pas chez toi, si tu habites en ville, mais des masques, t'as qu'a te baisser pour en ramasser. J'imagine pas les dégâts que ça va faire ces milliards d'accessoire de mode à l'abandon.

Tentons de raison gardée. Ce midi, aux infos (oui. Je sais. Je ne devrais pas les regarder), on parle d'installer des igloos en plexiglas sur les plages. ÉÉÉÉÉÉHHHHHH OOOOHHHHHH. MAIS ÇA VA PAS NNNOOOONNN!!!?????? (Oups. Pardon pour tes oreilles. Ça m'a échappé).

C'est qui le con? T'as vu l'ombre?
En tout cas, on sait ou trouver les masques.

Prends soin de toi.

10 avril 2020

Pause grâce au KO-vide

Il est 6h35, nous sommes le 10 avril 2020:
Je suis devant mon ordi, depuis un peu plus de 35 minutes pour télé-travailler. 
Je n'ai jamais télé-travailler de ma vie. Je ne pensais pas que c'était possible pour moi et, finalement, ça l 'est.

Après ma journée de travail, je mangerai avec ma douce compagne, des plats que j'ai cuisiné. 
Nous discuterons paisiblement. Puis, nous nous installerons sur notre balcon ouest pour prendre un peu l'air. Elle, contemplera la vue. Vue qui n'est pas extraordinaire, mais vue lointaine quand même. Moi je siroterai une tasse de café bio, fait à la cafetière italienne. Nous échangerons quelques mots. Un temps suspendu et fort agréable. 

Ensuite je ferai la sieste. Pas longtemps. Une demie heure. Puis je jetterai un oeil sur quelques vidéos youtube, pendant que Madame Fredo finira un vêtement confectionné avec ses doigts de fée, ou jouera du violoncelle.

La journée continuera, pour moi, par des pratiques ésotériques. Des choses que je n'ai pas le temps d'approfondir habituellement. Une tirage de carte (c'est ma nouvelle activité), un soin énergétique à distance, un approfondissement sur quelque chose que je ne maîtrise pas bien. 

Je finirais, comme Madame Fredo, avec un livre, posés tranquillement sur le canapé. Chose que nous n'avons que très peu l'occasion de faire en temps normal.

La-promee-de-l-ange

L'heure de l'apéro arrivera. La télé s'allumera et nous déversera ses nouvelles catastrophiques sur le virus. C'est le seul moment ou nous prendrons des nouvelles implacablement terribles de cette histoire là. Nous nous préservons. 

Voici donc une journée type passée, lovés au creux de notre nid de cinquante cinq mètres carré. Rien de bien extraordinaire. Juste une pause dans une vie ou habituellement on oublie l'essentiel: Nous. 

Je considère ce confinement comme une période à part. Je la prends presque comme un cadeau (je sais. Ça peut te choquer, mais c'est mon point de vu. Je ne te demande pas de le partager). Une parenthèse qui devrait permettre de se recentrer sur l'essentiel. Sur nous. Nos vies

Je remplis mon rôle auprès de mon employeur, mieux qu'a l'habitude même, parce que celui-ci me permet de travailler à mon rythme (en respectant mon horloge interne), pour me dégager du temps dans la journée. Aujourd'hui, j'ai du temps pour moi et je trouve un vrai équilibre entre vie pro et vie perso. Je me nourris de ces moments. C'est une vraie belle découverte. J'ai même repris un peu la guitare. C'est une activité que je ne ferais plus si je n'avais pas ce temps là, alors que j'adore jouer de la musique.

Pour les esprits chagrin: Non. Je n'oublie pas la souffrance. Je n'oublie pas les gens qui se battent pour tenir tout ça debout. Je ne t'oublie pas, toi non plus, qui a compris qu'il faut bien rester chez toi et ne sortir que si vraiment c'est nécessaire. Ça aussi c'est un effort important et tu peux, toi aussi, recevoir les applaudissements de vingt heure. Je prends juste la vie comme elle vient et je m'adapte au contrainte. Je garde la tête hors de l'eau, parce qu'autour de moi, bon nombre sont au bord  du gouffre, alors que la plupart, comme Madame Fredo et moi, sommes à l'abris (pour l'instant). Tentons de voir les bons côtés de ce moment. Moment éphémère qui, j'espère pour nos générations futurs, n'existera plus........ 

1 avril 2020

Vibrons ma soeur

Comme toi, je suis fermé chez moi depuis bientôt trois semaines.

Pas comme toi, je suis énergéticien. Remarque, je m'avance peut être un peu, parce que je ne suis pas le seul à travailler les corps énergétiques et heureusement.

Pour poser les bases, et me la péter à mort, je suis maître (oui môssieur, mâdâme) praticien en Reiki Usui, praticien niveau I et II en Reiki Karuna, bio-énergéticien et géobiologue (si tu veux en savoir un peu plus, je te propose de cliquer sur le joli nom, que j'ai donné à ma micro-boite: Terraciel).

Depuis que j'ai mis les mains dans l'énergétique je travaille beaucoup sur le taux vibratoire.

Je vois des points d'interrogation dans tes beaux yeux fatigués. Tu vas voir. C'est pas compliqué:

Tout part du principe que tout ce qui nous entoure n'est qu'énergie, y compris nous. Bon ben là, il faut que tu acceptes cet état de fait, sinon, c'est mort. Cette énergie vibre à certaines fréquences. Ça dépend de ce que tu mesures. Moi, cette mesure, je la prends (non, non. Pas dans ton cucu, ni avec un thermomètre) avec un pendule et des cadrans, ou mon antenne de Lecher. Ben oui hein. J'ai classé cet article dans Ésotérisme, c'est pas pour rien.

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Cette valeur s'exprime en unité Bovis. C'est pour moi ,la température énergétique globale du corps humain, puisque c'est de ça dont je souhaite te parler.

Voici MES valeurs. Tous les énergéticiens ne sont pas d'accord sur ces valeurs. Moi j'utilise celle-là pour savoir ou se situe une personne. C'est quatre ans d'expérience qui parle et beaucoup de mesures :

  • Une personne très malade vibre à moins de 3500 uB.
  • Une personne malade vibre à moins de 6000 uB.
  • Une personne "normale" (pas d'hygiène de vie particulière) vibre autour de 12000 uB.
  • Pour moi, une personne en bonne santé vibre au dessus de 20000 uB. C'est pour moi la valeur minimum pour ne pas tomber trop malade. A savoir que, plus tu vibres haut, moins tu tombes malade. C'est comme ça.

En ce moment, évidemment, je travaille sur le fameux virus. J'ai lu un article indiquant que, pour avoir le moins de chance possible d'attraper cette fameuse bestiole, il fallait vibrer au dessus de 21000 uB. Pourquoi pas. C'est, approximativement, le taux vibratoire du Covid-19. La grippe serait autour de 9000 uB. Les deux mesures indiquées là, sont MES mesures. Elles n'ont de valeur que par rapport à ce que je raconte MOI.

Avoir un taux vibratoire situé au dessus de 21000 uB demande du travail. Il faut faire attention à beaucoup de choses et, en gros, tout faire pour être en bonne santé. C'est à dire qu'il faut, parmis tant d'autres possibilités :

  • Ne pas consommer d'alcool.
  • Ne pas fumer.
  • Éviter la luxure. J'ai pas dit le sexe hein. Le sexe n'est pas forcément lié à la luxure.
  • Ne pas se droguer. Médicament y compris.
  • Manger bio (mais élevé avec respect) le plus cru possible.
  • Manger le moins possible de cadavre (pardon pour ce mot fort, mais je voulais englober le poisson là dedans)
  • Faire de la musique, plutôt douce. La musique métal, par exemple, ben ça descend le taux vibratoire.
  • Faire du sport régulièrement.
  • Méditer. Méditer ne veut pas seulement dire, se mettre en tailleur, fermer les yeux et planer hein. Ça veut aussi dire, ne penser à rien pendant l'exécution d'une tache, ou bien ne se concentrer que sur cette tache.
  • Se promener dans la nature.
  • ....

C'est sans doute pour ça que ce virus s'étend très vite. Sans doute parce que nous vivons dans une période de nos vies ou nous sommes loin de l'essentiel. Et donc, ou nos êtres vibrent bas.

Si je mets un peu du symbolique là dedans, on pourrait penser que ce virus tombe à propos pour nous rappeler que, l'essentiel, n'est pas la propriété, le pouvoir, la vie à cent à l'heure.
Le confinement nous impose de nous replier sur nous même physiquement, mais aussi, par la force des choses, intérieurement, de moins avoir de choses inutiles à faire. De se recentrer sur nos besoins primaires. Tendre vers la slow life. Alors, oui, il y a des gens qui souffrent et qui meurent. Je suis très touché par ça, mais ce n'est pas la majorité.
Nous, confinés, devrions profiter de cette période pour prendre le temps de faire le point. De mettre en oeuvre une vie plus paisible, pour que, quand nous allons sortir de nos cocons, nous soyons plus beau, et prenons la vie différemment, au même titre que la moche chenille devenant papillon s'élevant dans les airs porté par des ailes multicolores. (put... qu'c'est beau).

En attendant, prends soin de toi.

NDLR: Je n'écris pas cette note pour donner des leçons. Je ne suis rien pour donner des leçons. J'expose juste ce que je sens et ce que je sais. Personne n'est obligée de croire à mes écrits.

 

25 mars 2020

Con finé

Oui oui. Je vais te parler confinement. Ça va te changer hein? J'ai tenté un jeu de mot, en lien avec celles et ceux qui font de la merde (pardon mais il n'y a pas d'autres mots) et qui brave les interdits et sortent pour un oui ou pour un non. 

Ça c'est pour le côté négatif de l'affaire et la petite colère du jour.

Mais sinon! T'as entendu autour de toi? Non? 

Mais si! Prend ton écran avec toi, file vers une fenêtre. Ouvre la fenêtre. Écoute.

Cui cui cui. pchhhhhh... rien quoi. Pas de bruit. T'avais remarqué?

Moi je vis en ville. En bas de chez moi, il passe des métalosaures en pagaille. Des troupeaux entier, surtout aux heures des migrations entre le lieu de travail de leur maître et leur tanière. Et puis, il y a la vie. Quand il n'y a pas de métalausore, il y a le grondement de la ville. Un bruit de fond permanent. 

En ce moment, avec ma Madame Fredo (ma compagne du moment pour celles et ceux qui ne savent pas encore), on s'offre la sortie du jour, en se posant sur notre mini-balcon après manger pour prendre un peu le soleil. Et là, c'est impressionnant. On entend...... le silence. Oui oui. Le silence.

C'est fou. Et là, vivre en ville devient très agréable. J'ai la chance d'avoir un bout de vue. Tiens. J'te montre:

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En règle générale, il y a une espèce de voile quand tu regardes au loin. Tu vois, ce genre de brouillard un peu cracra qu'il y a sur beaucoup de ville ?
Et là, rien. Rien de rien.

Je te passe le fait que ça ne sent pas le pet de métalosaure. Cette odeur fétide qui te fait toussé. 

Bref. Oui on est confiné. Oui la vie s'arrête (ça non plus c'est pas que négatif). Oui c'est pas facile. Mais bon. Quand même. Quand t'entends les oiseaux, que tu respires mieux et que tu vois au loin, ben moi je trouve ça vraiment cool et j'aimerais bien que ça soit comme ça tout le temps (pas le confinement hein, mais ce qui en résulte pour l'instant).

 

15 mars 2020

Conoravirus et pensées négatives

Ce matin, j'ai fait comme toi: Je suis allé voter.
Comment ça tu n'y es pas allé? mmm?
Heureusement, en France, nous avons le choix et c'est pas moi qui  vais te jeter la pierre. C'est toujours un exercice compliqué pour moi. Mais c'est fait.

En chemin, j'ai croisé deux trois personnes (Je suis une figure du quartier. Éh ouai).
La conversation: Le virus.

Discours avec une mine abattue, emprunt, de catastrophisme. Certes. L'heure est grave. A répandre ce genre de discours, on alimente le mal être. On se complaît dans la fange. J'ai une idée noir. Je diffuse mon idée noir à l'entourage. L'entourage a des idées noirs et le diffuse à son entourage. Même processus que le fameux virus. Ben on fait comment pour sortir la tête?

Accessoirement, l'énergéticien que je suis devenu, t'informe qu'en faisant ça, tu fais tomber ton taux vibratoire. Le taux vibratoire c'est ta température énergétique pour ultra simplifier. A l'inverse de la température corporelle, plus ton taux vibratoire est faible, plus tu es vulnérable à la maladie. Ça vaut donc le coup de tenter de le garder à flot. 

Moi je tente de garder la tête hors de l'eau. D'apporter du positif. De la lumière. Ne pas sombrer. (Mais comme ça fait prétentieux quand je relie ce que  j'ai écrit. J'te jure. Le mec, il ne se sent plus pisser quoi). Mais au fond de moi, je n'ai pas envie de sombrer. Alors, je tente d'apporter du bien au gens qui me parlent de cette saloperie (enfin c'est ce que je crois). De rompre le cercle. De donner le sourire. Cette posture n'est pas forcée. Elle est devenue naturelle ces quatre dernières années (Et sinon, l'es ch'villes? Ça va comment?). Évidemment que ça me met à l'abris de rien. Mais c'est plus confortable pour moi.

Assis toi. Respire, on monte d'un cran : Pour terminer et te foutre la paix avec mes histoires sans intérêts, je pense que ce qui se passe aujourd'hui n'est pas anodin. Que ça vient bousculer le quotidien; l'humain. Ça nous ramène à notre condition de petit. Petit rien qui détruisons tout. Et si c'était une claque derrière la tête, envoyée par l'univers. Genre: "Éh oh. T'arrête maint'nant. T'as assez fait d'conneries. Change de ton ou je t'en mets une autre!?".

Je sais c'que tu penses: T'es en train d'lacher la rampe mon gars, là! 
Je ne me considère pas plus fou que tous ces gens qui dévalisent les zombilandes pour un bout de pq (tu sais qu'il y a d'autre moyen de se torcher l'fion?) ou un paquet d'pates (alimentation équilibrante au demeurant. J'ai failli écirir demeuré, mais j'ai pas osé).

Je dis souvent que je n'aime pas l'humain. Ça s'amplifie. Mais j'aime l'individue. Seul. Parce que dans ce troupeau d'humains (dont je fais parti intégrante), il y en a des beaux. J'en ai croisé un couple de spécimen, la semaine dernière. Ça nous (Madame Fredo et moi) a fait le plus grand bien. Eux, savent casser le cercle. Merci.

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