Les chroniques de Flèzz bleue: Euh... non rien.
Si t'en as manqué un bout, c'est par là...
C'est bien beau de faire le malin en racontant
que le vélo est "la" solution contre la voiture.
Mais aujourd'hui, je lâche l'affaire.
Non, je ne vais pas revendre Flèzz bleue,
mais ces jours de pluie en continu ont raison de ma motivation.
Cette semaine encore, je vais prendre la voiture.
Je n'arrive plus à supporter ces trajets dans la grisaille et la pluie.
C'est tout à fait acceptable l'automne et l'hiver, mais pas au mois de mai.
Je suis comme les batteries. Il faut que je me recharge.
Mon énergie, c'est la lumière et le soleil.
Je l'attendais avec impatience pour rouler à bord de ma bête,
insouciant, ouvert, les cheveux (enfin, ce qu'il en reste) au vent.
Ces temps-ci, je devrais rouler avec le toit.
C'est ce qu'il y a de moins agréable, surtout en cette période.
Sur le blog, je veux rester exhaustif.
Je pourrais ne raconter que ce qui est positif sur le vélotaf,
mais ce n'est pas le genre de la maison.
C'est pour cela que je remplace la note prévue, sur notre jardinet
tout planté tout beau, par celle-ci,
pour montrer que la vie d'un vélotafeur n'est pas qu'un long fleuve tranquille
et qu'il faut savoir se ménager quand on considère que c'est nécessaire.
Soleillement votre.